Pour les retardataires je vous rappelle que la première partie du voyage est disponible ici-même.
Place Gambetta - 1900 |
Place Gambetta de nos jours |
Place Gambetta - 1900 |
Place Gambetta de nos jours |
Place Gambetta lors de la Fête de la Musique 2015 |
Place Gambetta - 1900 |
Place Gambetta pendant les travaux de rénovation de la mairie en 2014 |
Place Gambetta de nos jours |
Place Gambetta vers 1900 |
Place Gambetta en 2015 |
Place Gambetta - 1900 |
Place Gambetta - 2014 |
Tout le commissariat pose fièrement devant l'objectif en 1910 |
La cour intérieure de la Mairie du 20éme. Le commissariat à déménagé ! - 2015 |
Toute la brigade de la RATP version 1910 ? |
8 place Gambetta - 2015 | ||
La sortie du métro de la place Gambetta. | ||
Petite découverte faite à l'occasion de cet article : si l'on reconnait encore les bâtiments d’arrière plan, la sortie a tout simplement disparue ! La bouche de métro se trouve désormais dans l'autre sens...
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...et un autre bar au 9 place Gambetta en 1910 ! |
Les deux bars aux 8 et 9 place Gambetta (autrefois séparés par une porte) ont désormais fusionné. |
Avenue Gambetta vue depuis la place - 1910 |
Avenue Gambetta vue depuis la place - 2015 |
Place Gambetta en direction de la rue des Pyrénées - 1900 |
Place Gambetta en direction de la rue des Pyrénées - 2014 |
Rue des Pyrénées depuis la place Gambetta (direction Buttes Chaumont) - 1910 |
Rue des Pyrénées depuis la place Gambetta (direction Buttes Chaumont) - 2015 |
Rue des Pyrénées depuis la place Gambetta (direction Nation) - 1910 |
Rue des Pyrénées depuis la place Gambetta (direction Nation) - 2015 |
Le Square Edmond Vaillant vers 1900 |
100 ans plus tard le Square Edmond Vaillant est toujours là (mais les enfants, non...) |
L'intersection de l'avenue Gambetta et de la rue Haxo - 1920 |
L'intersection de l'avenue Gambetta et de la rue Haxo - 2014 |
Metro St Fargeau - 1920 |
Metro St Fargeau - 2014 |
45 avenue Gambetta vers - 1910 |
Au 45 avenue Gambetta la Mutuelle Parisienne a été faire un tour. Du coup le cadre est, disons-le, moins joli. |
83 avenue Gambetta vers 1900 |
Désormais il est impossible de picoler au 83 avenue Gambetta ! |
Place Martin Nadaud vers 1900 |
Place Martin Nadaud en 2014 |
Place Martin Nadaud - 1900 |
Place Martin Nadaud - 2020. Le quartier s'est "légèrement" développé en arrière plan. |
Place Martin Nadaud en direction de la place Gambetta. |
Place Martin Nadaud en direction de la place Gambetta - 2020 |
Place Martin Nadaud en direction du Père Lachaise. |
En 2020 au niveau végétation il faut bien dire que nous y avons perdu au change, Place Martin Nadaud. |
La crèche municipale de la place Nadaud |
Le bâtiment n'a pas changé mais ce n'est plus une crèche. |
La place Martin Nadaud dans la perspective. |
De nets changements dans l'agencement de la place Martin Nadaud. |
233 rue des Pyrénées |
233 rue des Pyrénées. Le plus grand changement : le véhicule au premier plan. |
235 rue des Pyrénées. |
Un méchant coté années 70 pour le bar du 235 rue des Pyrénées. |
240 rue des Pyrénées vers 1900 |
240 rue des Pyrénées en 2015 |
243 bis rue des Pyrénées vers 1900 |
La tradition de la pharmacie a été perpétuée au 243 bis rue des Pyrénées ! |
271 rue des Pyrénées en 1904 |
271 rue des Pyrénées en 2015 |
332 rue des Pyrénées -1900 |
Désormais plus d'échange ni d'achat au 332 rue des Pyrénées mais seulement de la vente de lunettes. |
350 rue des Pyrénées - 1910 |
350 rue des Pyrénées - 2015 Bye bye la boucherie ! |
360 rue des Pyrénées - 1910 |
360 rue des Pyrénées - 2015 |
365 rue des Pyrénées - 1926 |
365 rue des Pyrénées - 2015 |
Un cinéma de quartier au 373 rue des Pyrénées vers 1910. |
C'était la dernière séance pour le (très petit) cinéma au 373 rue des Pyrénées. |
391 rue des Pyrénées - 1910 |
Désormais c'est un autre type de restauration au 391 rue des Pyrénées. |
Le bureau de poste du 397 rue des Pyrénées - 1910 |
Bye bye Poste et bonjour Banque au 397 rue des Pyrénées ! |
L'Hôtel des trois papillons en 1910 |
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rue des Pyrénées - 1900 |
Au niveau du 220 rue des Pyrénées. |
L'intersection de la rue des Pyrénées et de la rue Villiers de L'Isle-Adam - 1900 |
L'intersection de la rue des Pyrénées et de la rue Villiers de L'Isle-Adam - 2014 |
L'angle de la rue des Pyrénées et de la rue Stendhal - 1900 |
L'intersection de la rue des Pyrénées et de la rue Stendhal - 2014 |
rue des Pyrénées - 1900 |
rue des Pyrénées - 2014 |
rue des Pyrénées - 1900 |
La rue des Pyrénées vue depuis la rue Charles Renouvier. |
Ouverture de la ligne 3 bis, Station Gambetta en 1910. |
Le quai de la ligne 3 bis. La station la plus courte de tout le réseau et également la moins fréquentée. |
Merveilleux XXe ! Dans les années 30, un magasin situé sur le boulevard (de Belleville ?) vendait ce que l'on appelait des "bâches à jonc". Quid ? Ainsi nommait-on autrefois des casquettes larges à l'intérieur desquelles on introduisait un jonc ayant pour effet de bien tendre le tissu de la casquette.
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup marché dans le XXe au siècle du même nom. Dans des rues pentues (rue Gasnier-Guy, rue des Partants,...), et bien évidemment dans la rue des Pyrénées qui est, après la rue de Vaugirard, la plus longue rue de Paris.
J'avais une amie habitant à Charonne (le bas du XXe), rue du Clos. Ensemble, nous allions au cinéma Gambetta.
Le XXe c'est aussi ce que l'on baptisa la "Campagne à Paris" (rues Ferber, Géo-Chavez,...).
Rue des Orteaux, rue des Haies, Cité Champagne, tout a été "aseptisé", rayé du cartulaire au prix de moultes démolitions.
Au bas de la rue des Pyrénées, presque en face d'une caserne des sapeurs-pompiers, un magasin "Caves Maurice" vendait encore du vin "à la tireuse" (on apportait sa bouteille vide que l'épicier remplissait) en 1977.
Dans ce coin, on rencontrait parfois un gaillard au physique massif qui se travestissait en femme mais ne réussissait pas, pour autant, à mettre en évidence cette féminité qu'il recherchait. Un peu plus loin, dans la rue du Clos, dans un renfoncement, près du numéro 25, s'ouvrait un petit café-bar dans lequel on pouvait rencontrer un personnage dénommé "Flibusto"...
Tout le quartier a bien changé. La rue Saint-Blaise, montant jusqu'à l'église Saaint-Germain de l'ancien village de Charonne, a perdu tout son charme. Pour mémoire, un sinistre personnage s'étant illustré sous la Révolution habita dans le quartier : le dénommé Fouquier-Tinville, ayant rang d'accusateur public. Il s'illustra en envoyant beaucoup de monde à la guillotine avant d'y goûter lui-même. Pour mémoire, avant la Révolution, ce sanguinaire personnage se faisait appeler "Fouquier de Tinville" avec une particule qu'il semblait affectionner à l'image de Danton qui s'était, lui aussi, fait appeler "d'Anton". En ce temps-là, ces messieurs sans-culotte ne chassaient pas encore les ci-devant...
J'ai bien l'honneur.
Gerald H. Benter